- En nous remettant en question, nous sommes confrontés à nos péchés. En allant nous confesser, nous sommes confrontés à l’Amour, à la Miséricorde et au Pardon de Dieu.
- Les péchés ne sont pas des émotions désagréables. Ce sont de mauvais choix. Confessez vos péchés, pas votre état émotionnel.
- Des péchés commis sont une offense à Dieu. Des péchés confessés sont un cantique à Sa louange. En vous confessant, vous chantez la gloire de Dieu pour Sa grande Miséricorde.
- Une confession régulière édifie votre prière et nourrit votre âme ! Persévérez, même si c’est un péché que vous avez commis plusieurs fois : cela requiert patience et persistance. La confession est un sacrement de guérison. Or les blessures, qu’elles soient physiques ou spirituelles, peuvent mettre du temps à guérir.
- Le sujet de la confession n’est pas de savoir à quel point vous êtes mauvais, mais de réaliser à quel point Dieu est bon.
- Le prêtre et le docteur se ressemblent : vous confiez au médecin ce qui vous fait mal, avec plus ou moins de détails, pour qu’il sache comment vous guérir au mieux. Et rappelez-vous : il a déjà vu beaucoup de patients aux symptômes similaires. Faites-lui confiance, écoutez ses conseils, et vous irez mieux !
- Optez pour une confession simple et humble. Dieu n’a nul besoin d’un roman. Il l’a déjà lu. Parfois, fierté et impénitence se cachent derrière les phrases à rallonge. Parlez purement et simplement, en avouant clairement vos péchés : c’est comme être nu sur la Croix, pour la mort des péchés et la résurrection du pardon.
- Lancez-vous, quoi qu’il arrive. L’Amour de Dieu est plus fort que les péchés de l’homme.
- Pour beaucoup de gens, la confession ne devrait pas être considérée comme une obligation ou la récitation des péchés, mais comme le renouvellement de la relation avec Dieu.
- La confession n’est pas seulement le pardon de vos péchés : c’est une rencontre avec le Christ.
vendredi 9 juin 2017
10 conseils pour mieux vivre le sacrement de réconciliation
Après la confession, pratiquée de manière régulière, il peut arriver que ce genre de question survienne : « Ai-je dit ce qu’il fallait ? Aurais-je dû être plus précis ? Ai-je été assez honnête ? ».
Voici quelques conseils de prêtres, rapportés par le site Aletaia en date du 24 août 2016 (http://fr.aleteia.org) :